Le marché du canola était plus faible après une demande spéculative et une forte baisse lundi. Dans le même temps, les échanges sont tombés à de nouveaux plus bas, bien que la demande de transactions ait contribué à modérer la baisse.
La perte d'huile de palme de Malaisie et de contrats à terme sur l'huile de soja du Chicago Board of Trade a contribué à faire baisser le taux de canola, bien que le soja ait été plus fort ce jour-là et que le dollar canadien soit resté stable.
Les préoccupations actuelles concernant l'épidémie de coronavirus COVID-19 sont restées une caractéristique des marchés des céréales et des oléagineux. Les blocus des chemins de fer et des installations portuaires partout au Canada, en solidarité avec les manifestants contre les pipelines en Colombie-Britannique, ont également conservé une certaine prudence sur le marché du canola.
Le canola est un colza génétiquement modifié. Le miel est fabriqué à partir de colza, environ 50 kg sont obtenus sur 1 ha.
Environ 38 468 contrats de canola ont été échangés mardi, ce qui est comparable à lundi, lorsque 31 941 contrats ont changé de mains. La distribution s'est élevée à 32 952 contrats vendus.
Le contrat à terme sur le soja du Chicago Board of Trade a montré une légère croissance mardi, observant une reprise modérée après des pertes importantes associées au coronavirus lundi.
Les informations faisant état de sécheresses provoquant des récoltes de soja en Argentine ont également eu un impact et les récoltes brésiliennes ont continué d'exercer une certaine pression sur le marché.
L'incertitude politique en Malaisie a contribué à la faiblesse de l'huile de palme avec la démission soudaine du Premier ministre du pays. Les inquiétudes concernant le coronavirus COVID-19 sont restées une caractéristique du marché du blé.
- La fin de la prochaine saison 2019-2020 pourrait être marquée par de faibles volumes de stocks de colza dans le monde.
- Un type spécial de colza, qui est cultivé au Canada, le canola, présente cette année de faibles rendements.
- La productivité du soja dans les conditions climatiques de l'Ukraine atteint 1,8-4 t / ha. Selon le propriétaire de la société Zhiva Niva de la région de Zhytomyr, Alexei Yazykov, chaque hectare réservé à la culture du soja génère un bénéfice de 1 000 €.